Just married

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Babes

Just marriedJ’ai failli m’emmerder dans un mariage. Je l’ai fait pour le frangin nonpour les parents avec qui je suis en froid. Je me suis calé tout au fondde l’église. J’avais un peu picolé retrouvant des copains. J’avais pasbesoin de m’offrir en spectacle. J’arborais le look quotidien : jean etblouson. Une offense en quelque sorte. Ma belle sœur ne goûta guère.Elle ne vint me saluer. Le frèro passait sur ces détails. Il savait moncôté vain et anarchiste. Il me trouvait trop puéril. Seul lui importaitque je vins. J’avais le droit de déguerpir après la cérémonie. Ilconcevait assez mon effort.Les copains ont tenu à ce que je reste. Y avait tant à bouffer et même àpicoler. Surtout de jolies filles bien balancées qui les tenaient enlaisse. Il y avait à lever peut-être. L’alcool agit sur la libido. Unegrande blonde attirait particulièrement les yeux. C’était unedédaigneuse. Elle était venue avec un ponte de Paris. Un gros vieux quiput être son père et qui transpirait le fric. Il se disait publicitaire.Je n’en croyais rien. Je le voyais plutôt trafiquant d’armes ou pompe àpognon du politique. La blonde était copine de la belle sœur. Ceciacheva de me la rendre peu sympathique.Un des copains passablement bourré tenta de brancher la blonde. A notregrande joie il se mangea un râteau. Cela s’appelle aller au casse pipe.J’adore ce genre de témérité et de geste suicidaire. La blonde étaitoutrée qu’un illegal bahis inepte ivrogne eut songer un instant à la draguer. Elletirait pas la manche son vieux pour l’inciter à foutre le camp et fuirce camp des barbares. Celui-ci avait un coup dans le nez. La fêtetournait à la dégénérescence. Certains écroulés en leur vomi. Descouples illicites dans l’ombre se formaient.J’avais cessé de boire. Il faisait tard. Je voyais dans l’heure arriverle soir. Les jours sont longs en juin. La nuit n’en vient pas moins. Jevis disparaître un à un les copains avec une fille. Il était exclu queje les remmène et demeure plus longtemps. Je vis la blonde quis’engueulait toujours avec le vieux. Ils saluaient partout. Ils allaientpartir. Bon débarras. Il était temps pour moi de fuir et de lever lecamp. Je priais pour que les gendarmes ne s’avisent de m’arrêter. J’eusrendu cramoisi leur ballon. Une surprise m’attendait pourtant au bout duchemin.En ce coin de Seine et Marne, l’horizon n’est que plaines émailléesd’arbres rares. On distingue à peine la moindre chose. A cette heure ily avait une couleur belle procurée par le couchant. J’arriverais la nuitau bord de mon lit. Quelle ne fut ma surprise de voir de loin une femmefaisant des signes ? C’était ma blonde. Bizarre. Qu’était devenu levieillard ? Je crus à un drame. Ce con avait peut-être versé dans lefossé ou avait eu une attaque. L’explication était plus illegal bahis siteleri simple voiretrivial. Altercation. Le mufle l’avait planté au milieu de la nuit et dela campagne.Je ne pus m’empêcher de sourire. Non pas que je fus hostile mais cela meconfortait dans l’ineptie du couple. Elle goûta peu mon hilarité. Nousnous étions dévisagés durant la fête. Elle me savait copain du con quil’avait dragué. Elle crut à mon animosité. Je la méprisais trop pourcela. Elle paraissait maintenant désemparée. La fraîcheur de la nuitétait sur le point d’effacer la fournaise du jour. Elle était ridiculedans sa petite robe avec ses épaules nues. Elle ne put réprimer untremblement et m’avoua sa lassitude.L’idée idiote me traversa de la violer et de m’enfuir. N’avais-je pasdroit de m’amuser en un jour de mariage ? Elle dut deviner mes sombrespensées dans mon regard. Assis dans ma voiture je ne l’invitais toujourspas à monter. Elle mesura alors sa vulnérabilité et le ridicule de saposition. N’étais-je maître de la situation ? J’avais des droits surelle. Elle sourit. « Dois-je vous supplier ou me mettre à genoux ? » Jerépondis : « Pourquoi pas ? » Elle grimaça. Elle vit que je ne blaguaispas. J’étais résolu à passer du bon temps et à me dédommager sur unebourgeoise.Ne devais-je pas venger l’honneur d’un copain ? Je fis exprès dedémarrer avec intention de la laisser. En fait je me rangeais vingtmètres canlı bahis siteleri plus loin. Là goguenard je vins à sa rencontre. Elle était bienfoutue la garce bien que plus grande que moi. Son désarroi lui conféraitdu charme me la rendant un peu mieux sympathique. Avec de l’effroi dansses yeux. Avais-je une tête de violeur ? Je n’ai jamais forcé une femme.Je préfère mon verbe séducteur. « J’aimerais une récompense. » Ellecomprit ce que je voulais. Elle fut de suite à mes genoux non pour priermais cajoler le petit objet.L’odeur du foin coupé ajouté aux lueurs du couchant m’exaltaient. Unedivine déesse dans le paysage me suçait. Je n’aurais rêvé de plus belépilogue à un mariage. J’étais flatté qu’elle s’appliqua à son ouvrage.Ma bite valait bien celle du vieux. Elle s’exécutait sans frémir nirechigner. Elle semblait même apprécier. J’eus envie de davantage. Elleaussi peut-être. Notre journée commune avait été médiocre. Nousméritions mieux. Sans peine je relevais la jupe, écartant le fil dustring et l’enfilant. Je raconterais cela aux copains. Ils ne mecroiraient pas.J’étais à présent galvanisé. Elle était furieuse que son vieux con l’aidébarqué. En quelque sorte je devenais l’instrument de sa vengeance.Elle lui dirait demain qu’un péquenot du coin l’avait bourré toute lanuit et qu’elle en avait trop mal au cul. Il est vrai que celui-ci étaitfort accueillant. Elle ne fit nulle façon quand j’y entrais. Son vieuxet d’autres l’avaient assidûment visité. Ces filles en garce saventinvestir. Je la reconduisis chez une amie. Colère elle était décidée àrompre. J’obtins son numéro. J’eus droit à le revoir. Mon coup de queuel’avait enchanté.

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